La mammographie est une radiographie des seins ; elle utilise des rayons X. Les doses reçues sont très faibles. Bien que désagréable du fait de la compression du sein, la mammographie est un examen indolore.
Pour tout examen utilisant les rayons X, il existe un danger potentiel pour le fœtus. Pensez à bien signaler une grossesse ou un risque de grossesse.
- La secrétaire vous accueille et réalise votre dossier administratif. Vous êtes ensuite dirigée vers la salle d’attente.
- La manipulatrice responsable de la réalisation de votre examen vient vous chercher.
- Elle vous installe en cabine et vous demande de vous mettre torse nu. Pendant ce temps, elle prépare votre dossier mammographie (questionnaire à remplir) Elle vous installe ensuite dans la salle d’examens et réalise les clichés (minimum 2 sur chaque sein).
- Il est nécessaire de comprimer le sein pour augmenter la qualité des images et pour diminuer la dose d’irradiation.
- En fonction du résultat des premiers clichés, des clichés complémentaires peuvent être demandés par le médecin « PAS DE PANIQUE ! », cela n’implique pas obligatoirement une anomalie. Vous êtes à nouveau dirigée vers la salle d’attente avant de rencontrer le médecin.
- Vous êtes installée ensuite dans une autre salle où vous voyez le médecin radiologue pour un examen clinique des seins et le commentaire des clichés. Il complète très souvent la mammographie par une échographie mammaire : c’est le bilan sénologique normal.
Lors d’une radiographie osseuse, l’ensemble des os et de leurs articulations peuvent être radiographiés :
• le crâne, la colonne vertébrale, le bassin.
• les os des membres inférieurs (fémurs, tibia, péroné) et supérieurs (humérus, radius, cubitus).
• les os de la main et du pied.
• les articulations comme la hanche, le genou, la cheville l’épaule, le coude et le poignet.
La radiographie osseuse permet de rechercher :
• au niveau osseux : une fracture, une altération de la structure osseuse, une infection ou une tumeur.
• au niveau articulaire : des signes de dégénérescence (arthrose), une accumulation de liquide dans une articulation (épanchement), une luxation.
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Chez les enfants, des précautions doivent être prises pour restreindre l’exposition aux radiations :
le nombre d’examens et la dose d’irradiation sont ainsi limités.
- Le patient ne doit pas être nécessairement à jeun. Il peut manger et boire normalement.
- Avant l’examen, il faut enlever les prothèses dentaires, les lunettes et les bijoux.
- Le patient sera positionné par un manipulateur de façon à permettre l’acquisition des différents clichés requis. Il pourra être demandé au patient de rester immobile et de retenir brièvement sa respiration.
- Cet examen est totalement indolore. Une fois l’examen terminé, le patient peut généralement reprendre immédiatement ses activités.
• Un lavement baryté est un examen radiologique permettant d'étudier le rectum et le côlon. Il consiste à injecter un produit de contraste opaque aux rayons X, la baryte, dans le rectum et le côlon du patient, via une petite canule introduite dans l'anus. Puis des clichés radiographiques de l'abdomen sont pris. Cet examen permet de dépister des anomalies telles que tumeurs, polypes, diverticules, inflammation et infection.
TOGD un examen fondé sur le même principe, explorant le haut du tube digestif..
La radiographie pulmonaire constitue l’examen de base pour la détection de nombreuses pathologies pulmonaires ou pleurales. Elle permet l’étude des poumons et des bronches, de la plèvre du cœur et de son environnement (Infections pulmonaires -pneumopathie, pneumothorax, lésions thoraciques …).
Elle est également demandée dans les bilans cardiologiques pour apprécier la silhouette cardiaque et la vascularisation pulmonaire.
Cette technique utilise des rayons X. Des précautions concernant en particulier les femmes enceintes doivent être prisent systématiquement ; c’est pourquoi il est important de la part de nos patientes de nous signaler tout risque.
- Vous allez être pris en charge et installé dans la salle d’examen.
- Les vêtements masquant la région intéressée par l’examen devront être ôtés. Le patient doit se mettre torse nu et ôter chaînes, colliers et si nécessaire piercing.
- Un cliché de face sera réalisé. Ce bilan peut être complété par un cliché de profil et/ou un cliché de face en expiration.
- Au terme de cet examen, les clichés sont interprétés par le médecin radiologue. Il est donc très important de rapporter vos anciens examens (radios, scanner, IRM, échographie…) pour optimiser la lecture des clichés.
- Le scanner ou la tomodensitométrie est également une technique d’imagerie qui utilise les rayons X. Son principe consiste à réaliser des images en coupes fines du corps. Au lieu d'être fixe, le tube de rayons X tourne autour du patient et grâce à un système informatique puissant, des images sont obtenues. Ensuite, elles sont imprimées sur un film et gravées sur un CD. Dans la plupart des cas, un produit de contraste à base d'iode est utilisé pour améliorer leur qualité.
- Pour les scanners injectés : faire un repas léger avant le scanner.
- Certaines précautions sont nécessaires si vous avez présenté par le passé une intolérance aux produits de contraste iodés : signaler-le au manipulateur.
- Une prescription de IOMERON 350 va vous être faite, à ramener le jour de l’examen
- Nous vous faisons également réaliser un bilan de clairance et créatinémie, pour évaluer l’état de votre filtration rénale
- Rapporter les anciens clichés.
- Il est conseillé de boire beaucoup d’eau avant et après l’examen (pour éliminer le produit de contraste).
- Durée de l’examen : environ 30 minutes.
- L’angioscanner est un examen non invasif qui permet la visualisation des vaisseaux sanguins (veines ou artères).
- Cet examen permet d’obtenir des images avec un scanner après injection intraveineuse d’un produit contraste iodé, opaque aux rayons X.
- L’ensemble des gros vaisseaux sanguins peut être ainsi visualisé en angioscanner.
- Les applications de l’angioscanner sont nombreuses :
- Carotides, artères pulmonaires (suspicion d’embolie pulmonaire ) et bronchiques, aorte (suspicion d’anévrisme ) et membres inférieurs ( bilan d’artériopathie ), artère rénale ( bilan d’hypertension ), artères digestives.
- Vous êtes allongé sur le lit du scanner. On vous pose une petite voie veineuse dans le bras, cela ne fait pas plus mal qu’une prise de sang.
- Vous ne devez pas bouger pendant l’acquisition des coupes.
- L’examen dure 2 à 5 minutes. On vous injecte un produit de contraste à base d’iode.
- L’injection d’iode procure parfois une discrète sensation de chaleur, spontanément résolutive.
- Vous devez signaler toute allergie à l’accueil.
- Les seules contre-indications sont l’insuffisance rénale et l’allergie aux produits de contraste.
- La tomodensitométrie ou scanner permet une analyse précise des structures osseuses.
- L’injection de produit de contraste, au sein de la cavité articulaire, apprécie des structures qui ne sont pas spontanément identifiables comme les surfaces cartilagineuses, les ligaments et les ménisques.
- Il vous est d’abord demandé de remplir en salle d’attente un questionnaire sur vos antécédents personnels et de signer le consentement éclairé rappelant les risques liés à ce type d’examen.
- La première partie à lieu en salle de radiologie conventionnelle.
- Sous contrôle scopique, le radiologue ponctionne et opacifie la cavité articulaire avec le produit de contraste iodé.
- Cette injection ne dure que quelques secondes, et n’occasionne la plupart du temps aucune symptomatologie douloureuse.
- Au décours de cette ponction, des clichés radiographiques de l’articulation opacifiée sont réalisés.
- La seconde partie de l’examen consiste à réaliser un scanner (ou tomodensitométrie) de l’articulation opacifiée.
- Cet examen ne nécessite pas d’autre injection, et est totalement indolore.
- Vous retournez alors en salle d’attente. Le compte rendu de l’examen vous est remis par le radiologue.
- On préconise un repos relatif et un arrêt des activités sportives de quarante huit heures après l’examen.
- La sensation de gêne et de gonflement articulaire régresse en quelques heures.
- Le scanner permet de faire des images en coupe du corps humain. Le scanner utilise des rayons X.
- En matière d’irradiation des patients, rien n’a pu être démontré dans ce domaine compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée.
- Cependant des précautions concernant les femmes enceintes doivent être prises systématiquement. C’est pourquoi il est important de nous signaler si vous pouvez être dans ce cas.
- Vous serez allongé sur un lit qui se déplace dans un large anneau, le plus souvent sur le dos et seul dans la salle d’examen ; nous pourrons communiquer avec vous grâce à un micro. L’équipe se trouve tout près de vous derrière une vitre Elle vous voit et vous entend pendant le déroulement de l’examen. Si cela est nécessaire elle peut intervenir à tout moment.
- La zone étudiée est le mandibule (mâchoire inférieure) ou le maxillaire (mâchoire supérieure), parfois les deux.
- L’examen est rapide. Votre coopération est importante : il vous sera demandé de rester sans bouger. Vous resterez environ quinze minutes dans la salle du scanner. Il n’y a aucune injection.
- Un premier commentaire pourra vous être donné juste après l’examen. Il ne s’agira là que d’une première approche car les images doivent être ensuite analysées sur un ordinateur par le médecin radiologue.
- Le compte -rendu écrit sera disponible dans les meilleurs délais.
Le Cone Beam permet de faire des images en coupes tridimensionnelles du massif facial et particulièrement des images maxillaires et des dents. Notre matériel est un appareil SCANORA actuellement considéré comme le plus perfectionné pour cette technique. Le CBCT (Cone Beam Computer Tomography) utilise des rayons X à dose inférieure de celle délivrée par le scanner pour la même région (cinq à six fois moins). .
En matière d’irradiation des patients, rien n’a pu être démontré dans ce domaine compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée.
Des précautions concernant les femmes enceintes doivent être prises systématiquement.
- Vous serez assis sur une chaise qui se déplace autour un large capteur situé vers le sommet de votre tète.
- Le manipulateur est dans la salle avec vous, et communique avec vous, vous voit et vous entend pendant tout l’examen.
- Si cela est nécessaire, le manipulateur peut intervenir à tout moment.
- Vous serrez immobile pendant l’examen, il sera nécessaire de ne pas bouger et de ne pas déglutir pendant la durée d’acquisition des données (15 à 30 secondes).
- La durée totale de l’examen est relativement courte, moins de dix minutes.
- Après l’acquisition des données informatiques, l’équipe vérifie la validité des informations pour effectuer les mesures et éventuelles reconstructions 3D nécessaires à votre chirurgien
- En cas d’acquisition perturbée par des mouvements ou une déglutition trop marquée, il peut arriver qu’une nouvelle acquisition soit réalisée pour compléter l’examen.
- Ensuite l’équipe réalise les analyses de données, mesures et reconstructions spatiales en fonction de la demande de votre médecin ou dentiste et de la pathologie recherchée
- L’échographie est une technique d’imagerie qui n’utilise pas des rayons X mais des ultrasons qui sont émis puis reçus par une sonde que l’on pose sur la peau. Les tissus et les organes traversés renvoient de façon différente ces ondes qui sont ensuite analysées par un ordinateur et transformées en images.
- Lors de l’examen, il est appliqué un gel entre la sonde et la peau pour éviter toute interposition d’air car l’air arrête les ultrasons alors que l’air les transmet.
- La plupart des études échographiques sont relativement rapides et bien tolérées par le patient. Si une partie sensible est examinée, cela peut causer une légère douleur. Autrement, l’examen est sans douleur.
- L’échographie n’est pas affectée par les stimulateurs cardiaques, les implants ferromagnétiques ou les fragments à l’intérieur du corps. L’échographie est aussi une excellente alternative à l’IRM pour les patients claustrophobes.
- L’échographie peut en fait être préférable à l’IRM pour voir la structure du tendon.
L’échographie abdominale fournit de nombreux renseignements sur les organes abdominaux, bien plus riches que la radiographie standard.
Les principaux organes explorés par l’échographie abdominale sont :
• La vésicule et les foies biliaires : calculs, dilatation, tumeurs, abcès, inflammation de la paroi ;
• Le foie : taille et homogénéité ...
• La rate : taille, gonflement, suspicion de rupture
• Le pancréas : kyste, pancréatite sur calcul biliaire ...
• Les reins : calculs, dilatation des bassinets ou des uretères ...
• L’aorte et la veine cave inférieure
• La paroi musculaire de l’abdomen.
L’échographie peut également montrer des ganglions anormaux, la présence d’ascite, de sang ou des masses suspectes dans la cavité abdominale.
Les progrès de la discrimination des appareils permettent désormais d’étudier les organes creux comme les parois de l’estomac et du côlon ou l’appendice, même si d’autres examens, tel un scanner, sont parfois nécessaires pour affiner ces images.
- L’échographie est un examen indolore et non irradiant utilisant les ultrasons.
Vous allez être pris en charge et installé dans la salle d’examen. Les vêtements masquant la région intéressée par l’examen devront être ôtés.
- Pour effectuer cet examen, la sonde à ultrasons devra être en contact direct avec votre peau. Afin d’obtenir un contact en douceur, le radiologue appliquera un gel clair sur la zone d’intérêt. Durant l’examen, la sonde va être déplacée selon un mouvement de balayage sur la zone d’intérêt. Le radiologue pourra vous demander de tourner votre corps dans des positions spécifiques.
Votre radiologue vous expliquera tous les aspects de l’examen.
- A l’issue de votre examen vous serez invité à patienter dans la salle d’attente pour recevoir ensuite le compte rendu d’examen et vos films d’échographie à la fin de votre rendez-vous.
L’échographie articulaire, ostéo-articulaire, osseuse, musculaire ou tendineuse est un examen d’imagerie qui permet l’analyse des tendons, des ligaments, des muscles et parfois des articulations.
Les indications de cet examen sont très variées. Il est prescrit :
• Lors de douleurs ou de syndrome douloureux articulaire (échographie des mains, poignets, coude, genou, hanche, cheville, recherche de névrome de Morton ou de bursite, suivi de polyarthrite rhumatoïde, ou de spondylarthrite ankylosante (SPA), échographie des anthèses).
• Dans la recherche de tendinite ou de lésion ligamentaire en particulier chez les sportifs (tendinite des tendons de la coiffe des rotateurs, tendon d’Achille, aponévrose plantaire, muscles adducteurs, muscles ischio jambiers, épicondylite, entorse de cheville, ligaments des genoux).
• Dans la recherche de pathologie musculaire par exemple lors de la pratique de sport (déchirure musculaire, rupture partielle ou complète, désinsertion myoaponévrotique, hématome …).
Il n’y a pas de préparation particulière. Il n’est pas nécessaire d’être à jeun.
- L’échographie est un examen indolore et non irradiant utilisant les ultrasons.
Vous allez être pris en charge et installé dans la salle d’examen. Les vêtements masquant la région intéressée par l’examen devront être ôtés.
- Pour effectuer cet examen, la sonde à ultrasons devra être en contact direct avec votre peau. Afin d’obtenir un contact en douceur, le radiologue appliquera un gel clair sur la zone d’intérêt. Durant l’examen, la sonde va être déplacée selon un mouvement de balayage sur la zone d’intérêt. Le radiologue pourra vous demander de tourner votre corps dans des positions spécifiques.
- Votre radiologue vous expliquera tous les aspects de l’examen.
- A l’issue de votre examen vous serez invité à patienter dans la salle d’attente pour recevoir ensuite le compte rendu d’examen et vos films d’échographie à la fin de votre rendez-vous.
L’échographie est un examen indolore et non irradiant utilisant les ultrasons. L’échographie peut être un examen unique notamment chez la jeune fille ou la femme enceinte. Mais la plupart du temps l’échographie est associée à une mammographie. C’est un véritable couple diagnostique.
- La secrétaire vous accueille et réalise votre dossier administratif. Vous êtes ensuite dirigée vers la salle d’attente.
- Une manipulatrice vient vous chercher et vous installe en salle d’échographie. Vous êtes allongée, torse nu, sur un lit. La salle d’échographie est en ambiance lumineuse très sombre pour faciliter la lecture des images.
- Le médecin vient vous examiner et réalise l’examen. Il applique un gel sur la peau pour permettre la transmission des ultrasons. Il vous commente l’examen.
- Vous repartez du cabinet avec votre dossier images et le compte rendu.
L’échographie articulaire, ostéo-articulaire, osseuse, musculaire ou tendineuse est un examen d’imagerie qui permet l’analyse des tendons, des ligaments, des muscles et parfois des articulations.
Les indications de cet examen sont très variées. Il est prescrit :
• Lors de douleurs ou de syndrome douloureux articulaire (échographie des mains, poignets, coude, genou, hanche, cheville, recherche de névrome de Morton ou de bursite, suivi de polyarthrite rhumatoïde, ou de spondylarthrite ankylosante (SPA), échographie des anthèses).
• Dans la recherche de tendinite ou de lésion ligamentaire en particulier chez les sportifs (tendinite des tendons de la coiffe des rotateurs, tendon d’Achille, aponévrose plantaire, muscles adducteurs, muscles ischio jambiers, épicondylite, entorse de cheville, ligaments des genoux).
• Dans la recherche de pathologie musculaire par exemple lors de la pratique de sport (déchirure musculaire, rupture partielle ou complète, désinsertion myoaponévrotique, hématome …).
Il n’y a pas de préparation particulière. Il n’est pas nécessaire d’être à jeun.
- L’échographie est un examen indolore et non irradiant utilisant les ultrasons.
- Vous allez être pris en charge et installé dans la salle d’examen. Les vêtements masquant la région intéressée par l’examen devront être ôtés.
- Pour effectuer cet examen, la sonde à ultrasons devra être en contact direct avec votre peau. Afin d’obtenir un contact en douceur, le radiologue appliquera un gel clair sur la zone d’intérêt. Durant l’examen, la sonde va être déplacée selon un mouvement de balayage sur la zone d’intérêt. Le radiologue pourra vous demander de tourner votre corps dans des positions spécifiques.
- Votre radiologue vous expliquera tous les aspects de l’examen.
- A l’issue de votre examen vous serez invité à patienter dans la salle d’attente pour recevoir ensuite le compte rendu d’examen et vos films d’échographie à la fin de votre rendez-vous.
L’échographie thyroïdienne est un examen de première intention en pathologie thyroïdienne permettant d’avoir une cartographie d’excellente qualité ; il s’agit d’un examen d’accès facile, a traumatique et permettant une étude dynamique et rapide. Cette échographie permet de repérer un nodule de taille inférieure à 5 millimètres, montre des anomalies d’écho structure en pathologie inflammatoire et permet un bilan volumétrique exact. L’exploration vasculaire est obtenue par le Doppler couleur et le Doppler pulsé tandis que l’échographie conventionnelle explore systématiquement les régions latéro-cervicales à la recherche d’anomalies ganglionnaires. Enfin, il est possible de guider des ponctions à visée cytologique ou histologique.
- L’échographie est un examen indolore et non irradiant utilisant les ultrasons.
-Vous allez être pris en charge et installé dans la salle d’examen. Les vêtements masquant la région intéressée par l’examen devront être ôtés.
-Pour effectuer cet examen, la sonde à ultrasons devra être en contact direct avec votre peau. Afin d’obtenir un contact en douceur, le radiologue appliquera un gel clair sur la zone d’intérêt. Durant l’examen, la sonde va être déplacée selon un mouvement de balayage sur la zone d’intérêt. Le radiologue pourra vous demander de tourner votre corps dans des positions spécifiques.
-Votre radiologue vous expliquera tous les aspects de l’examen.
-A l’issue de votre examen vous serez invité à patienter dans la salle d’attente pour recevoir ensuite le compte rendu d’examen et vos films d’échographie à la fin de votre rendez-vous.
- L’échographie Doppler ou Doppler permet d’explorer le flux sanguin dans les artères et les veines en mesurant notamment la vitesse d’écoulement du sang dans les artères et les veines.
- Il renseigne aussi sur la forme des vaisseaux et recherche un obstacle ou un éventuel rétrécissement du vaisseau.
L’échographie Doppler est utilisée dans le diagnostic des pathologies des vaisseaux et du cœur.
• Cœur : cardiopathies congénitales, valvulopathies, péricardites.
• Artères : sténoses, thromboses (athérosclérose), anévrismes, claudication intermittente, ischémie aiguë.
• Veines : thromboses veineuses profondes, varices.
Le Doppler utilise les ultrasons comme l’échographie. Une sonde envoie des ondes à l’intérieur du corps. Un écho se forme au contact d’un organe ou d’une d’occlusion pour transcrire instantanément sur un écran des courbes (doppler pulsé ou continu) ou des masses colorées (doppler couleur).
Le Doppler est associé à l’échographie pour vérifier la forme des vaisseaux.
C’est un examen de première intention qui pourra être complété par une angiographie. C’est un examen non vulnérant, parfaitement indolore sans aucune préparation, ni contre-indication.
- Pendant l’examen, vous serez allongé, le plus souvent sur le dos. Un gel sera étalé sur la peau pour permettre une bonne transmission des ultra-sons.
- La sonde sera déplacée en regard des vaisseaux à explorer. Le radiologue vous demandera de changer de position au cours de l’examen et/ou de bloquer votre respiration.
Il dure 10 à 20 minutes environ.
- Le panoramique dentaire est une radiographie qui permet de visualiser sur un seul cliché (une seule radio), entre autres :
. Les arcades dentaires.
. Les maxillaires.
. Les parties inférieures des fosses nasales.
. Les sinus maxillaires.éparation, ni contre-indication.
- Examen réalisé debout ou assis consistant une radiographie de profil de la tête dent serré nécessaire dans le cadre de l’ODF ou de la chirurgie de la face
- La radiographie est obtenue après injection d'un liquide opaque aux rayons X. Le sialogramme est l'image radiographique obtenue par la sialographie. Autrement dit la sialographie est l'étude des canaux des glandes salivaires. On distingue la sialographie de la glandes parotide qui est la glande située derrière la branche verticale du maxillaire inférieur (mâchoire inférieure ou mandibule) et la sialographie de la glande sous maxillaire qui est la glande salivaire située derrière la branche horizontale du même maxillaire.
- Le patient n'est pas obligatoirement à jeun. Il doit apporter avec lui un produit de contraste (Hexabrix 320 : 10 ml) obtenu sur ordonnance.
D'autres examens sont éventuellement nécessaires:
• L'échographie
• Une ancienne sialographie
• Un scanner
• Les résultats d'une imagerie par résonance magnétique nucléaire (I.R.M.)
• et… Un citron. Ce fruit est utilisé pour faire salive et le patient
- Une fois que le patient est installé il doit préalablement sucer un morceau de citron puis le radiologue lui demande d'ouvrir la bouche. Ensuite le radiologue met l'extrémité arrondie d'une petite canule (un cathéter) qui est relié à un tuyau souple, très fin et permettant de pénétrer dans l'orifice du canal de la glande salivaire où l'injection de produit de contraste va être effectuée. Il est nécessaire de signaler que ce geste est le plus souvent difficile. Quand il est impossible de réaliser la sialographie celle-ci est remplacée par un autre examen que ce soit un scanner, une échographie ou une imagerie par résonance magnétique nucléaire.
- Une fois que le cathéter est introduit dans le canal salivaire, le radiologue injecte doucement le produit de contraste iodé, opaque aux rayons X. Le liquide se répand dans le canal puis dans toutes ses ramifications, ensuite il est procédé à la prise de clichés (les radiographies elles-mêmes).
- Plusieurs clichés sont pris et un dernier cliché est pris lors de l'évacuation du produit par la glande c'est-à-dire environ 45 minutes après.
- L'examen dur environ une heure puis le cathéter est ensuite retiré, le patient peut alors se rincer la bouche, l'examen est terminé. Les résultats sont obtenus au bout de 24 heures.
- La sialographie a pour but essentiellement de visualiser une lithiase c'est-à-dire un calcul salivaire dans un des canaux excréteurs. Le canal de Wharton, pour la glande maxillaire et le canal de Sténon, pour la glande parotide. La sialographie peut également être pratiquée quand il existe une sécheresse de la bouche (hyposialorrhée).
- La quantité de rayons X que reçoit le patient pendant la sialographie n'est pas très importante. Néanmoins étant donné qu'il existe des risques liés à la dose de rayons pour le fœtus, on demande à la femme enceinte, durant l'examen, de porter un tablier de plomb qui la protège contre les rayonnements nocifs pour l'enfant. Certaines personnes sont allergiques à l'iode qui est contenu dans le produit de contraste. Dans ce cas le médecin prescrit un traitement préventif que le sujet prend durant les trois jours qui précèdent examen.
- L'examen en lui-même est indolore. L'injection du produit de contraste s'accompagne le plus souvent d'une sensation de chaleur et de dilatation de la glande salivaire. Cette impression diminue puis disparaît assez rapidement. Un gonflement plus ou moins important de la glande salivaire est à l'origine de douleurs. Celles-ci peuvent persister pendant quelques heures après examen.
- La cystographie est une radiographie de la vessie et de l’urètre. L’examen utilise des rayons X et un produit à base d’iode injecté directement dans la vessie à l’aide d’une sonde. Des précautions concernant les femmes enceintes doivent être prises systématiquement. C’est pourquoi il est important de signaler si vous pouvez être dans ce cas. .
- Un manipulateur vient vous chercher et vous installe sur la table de radiologie.
- Votre radiologue vous expliquera tous les aspects de l’examen.
- Le produit à base d’iode est dans la plupart des cas introduit dans la vessie à l’aide d’une sonde par l’urètre (cystographie rétrograde chez la femme ou l’homme). Ce moment peut provoquer une sensation d’irritation.
- Dans d’autres cas, on pique directement dans la vessie sous anesthésie locale (cystographie sus-pubienne chez l’homme).
- Les clichés sont d’abord réalisés pendant le remplissage de la vessie.
- Ensuite, afin d’étudier l’urètre, des radiographies seront réalisées au moment où il vous sera demandé d’uriner dans un récipient tout en restant sur la table de radiologie.
La durée de l’examen est de 30 minutes environ.
- L’hystérographie est une radiographie de l’utérus.
- Elle consiste à introduire par le vagin un produit opaque aux rayons X dans la cavité utérine et à prendre plusieurs clichés radiologiques.
- L’hystérographie apporte des renseignements utiles en complément de l’échographie qui étudie mal la cavité utérine et les trompes.
- L’examen commence par un examen gynécologique.
- Il est précédé d’une toilette antiseptique de la vulve et du périnée. L’injection du produit est réalisée à l’aide d’un système stérile dans le col de l’utérus après désinfection.
- Des clichés sont réalisés au cours de l’injection lente du produit de contraste dans l’utérus et les trompes. Dans certains cas comme dans les bilans d’infertilité par obstruction des trompes,
- La durée de l’examen peut varier en fonction de votre anatomie et du nombre de clichés nécessaire, soit environ trente minutes ou plus si un geste complémentaire de cathétérisme des trompes est envisagé.
- Toute intervention sur le corps humain, même conduite dans des conditions de compétence et de sécurité maximales, comporte un risque de complication.
- Les incidents les plus couramment rencontrés sont des douleurs pelviennes, à type de crampes, transitoires, sont atténuées par la prise de médicaments anti-spasmodiques.
- De faibles saignements dans la journée qui suit la réalisation de l’examen.
- Des risques très rares peuvent survenir :
• Un malaise passager avec sueurs froides et parfois perte de connaissance très transitoire.
• Le réveil d’une infection génitale dont le risque sera réduit par un traitement antibiotique préventif en cas d’infertilité.
• Des manifestations d’allergie au produit iodé, très rares, car le produit n’est pas injecté par voie veineuse.
-Cet examen est justifié par votre état de santé pour localiser et identifier l’affection dont vous souffrez, à titre de bilan préopératoire, ou pour un contrôle postopératoire ou encore dans la surveillance de la maladie pour laquelle vous êtes ou avez été traitée.
-La découverte inattendue d’une pathologie débutante qui n’est responsable d’aucun symptôme est possible et fait partie du bénéfice potentiel de cette exploration.
-Cet examen comme toute exploration radiologique n’est pas sûr à100 %. Des lésions peuvent ne pas être détectables par cette technique radiologique. Au cours de l’examen, tout sera mis en œuvre par le médecin radiologue pour obtenir la meilleure efficacité diagnostique.
- Un premier commentaire pourra vous être donné juste après l’examen. Il ne s’agira là que d’une première approche, car les images doivent être ensuite analysées par le médecin radiologue.
- Le compte-rendu écrit sera disponible dans les meilleurs délais.
Certains antécédents médicaux pourront nous amener à vous prescrire une prémédication avant l’examen ou à reporter la date de l’examen ou encore, beaucoup plus rarement, à annuler cet examen et le remplacer par un autre type d’exploration.
- Un lavement baryté est un examen radiologique permettant d'étudier le rectum et le côlon.
- Il consiste à injecter un produit de contraste opaque aux rayons X, la baryte, dans le rectum et le côlon du patient, via une petite canule introduite dans l'anus. Puis des clichés radiographiques de l'abdomen sont pris.
- Cet examen permet de dépister des anomalies telles que tumeurs, polypes, diverticules, inflammation et infection.
- TOGD un examen fondé sur le même principe, explorant le haut du tube digestif.
- L’urographie intraveineuse permet d’explorer les voies urinaires, depuis les reins jusqu’à la vessie et l’urètre.
- L’examen utilise des rayons X et un produit à base d’iode, opaque aux rayons X qui est éliminé par les reins dans les urines.
- En matière d’irradiation des patients, aucun risque n’a pu être démontré compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée. Toutefois, des précautions concernant les femmes enceintes doivent être prises systématiquement. C’est pourquoi il est important de signaler si vous pouvez être dans ce cas.
- L’examen se fait en position allongée, sur une table de radio. Un petit cathéter (tube souple) est placé dans une veine, souvent au pli du coude, pour injecter le produit iodé. Puis on prend plusieurs clichés radiographiques.
- La durée de cette première partie d’examen est d’environ trente minutes.
- L’examen comporte souvent une deuxième partie, une à deux heures après les premiers clichés, le temps que la vessie se remplisse et qu’il vous soit possible d’uriner pendant la prise de clichés pour étudier l’urètre. L’examen se fait en position allongée, sur une table de radio. On met en place un petit cathéter (tube souple) dans une veine, souvent au pli du coude, pour injecter le produit iodé. Puis on prend plusieurs clichés radiographiques. La durée de cette première partie d’examen est d’environ 30 minutes.
- L’examen comporte souvent une deuxième partie, 1 à 2 heures après les premiers clichés, le temps que la vessie se remplisse et qu’il vous soit possible d’uriner pendant la prise de clichés pour étudier l’urètre.
- Vous pourrez dans l’intervalle vous restaurer et boire.
- Toute intervention sur le corps humain, même conduite dans des conditions de compétence et de sécurité maximales, comporte un risque de complication.
- L’injection est un acte très courant, habituellement très bien toléré. Cependant, comme avec d’autres médicaments, des réactions peuvent survenir :
- La piqûre peut provoquer la formation d’un petit hématome sans gravité, qui se résorbera spontanément en quelques jours.
- Lors de l’injection, sous l’effet de la pression, il peut se produire une fuite du produit sous la peau, au niveau de la veine. Cette complication est rare (un cas sur plusieurs centaines d’injections, généralement sans suites graves), et pourrait nécessiter exceptionnellement un traitement local.
- L’injection de produit iodé peut entraîner une réaction d’intolérance. Ces réactions imprévisibles sont plus fréquentes chez les patients ayant déjà eu une injection mal tolérée d’un de ces produits ou ayant des antécédents allergiques. Elles sont généralement transitoires et sans gravité.
- Elles peuvent être plus sévères, se traduire par des troubles cardio-respiratoires et nécessiter un traitement.
- Des accidents rénaux, également liés au produit iodé, sont également possibles, notamment chez certains sujets atteints de maladies fragilisant le rein (insuffisance rénale chronique, diabète avec insuffisance rénale, etc).
- Des modalités particulières seront observées en cas de facteurs de risques particuliers, qui seront identifiés au moment du dialogue entre l’équipe et vous. Dans tous les cas, si vous pensez avoir un facteur de risque, vous devez le signaler au moment de la prise de rendez-vous.
- Un premier commentaire pourra vous être donné juste après l’examen. Il ne s’agira là que d’une première approche, car les images doivent être ensuite analysées plus en détail par le médecin radiologue. Le compte-rendu écrit sera disponible dans les meilleurs délais.
- L’ostéodensitométrie permet d’apprécier la densité de l’os.
- L’ostéodensitomètre émet une certaine quantité d’énergie qui traverse le corps en deux zones clés (hanche et rachis lombaire) et mesure la quantité d’énergie qui en ressort. Il mesure la quantité absorbée au niveau de l’os et peut ainsi évaluer la « densité », c’est à dire la qualité de minéralisation de l’os.
- Les valeurs obtenues peuvent être normales par rapport à la population du même âge, ou diminuée. On parle alors d’ostéopénie si la déminéralisation est modérée et d’ostéoporose lorsqu’elle est plus importante.
- L’ostéoporose touche essentiellement les femmes âgées de plus de cinquante ans. Elle est à l’origine de près de cent trente mille fractures par an, dont cinquante mille fractures du col fémoral. L’ostéodensitométrie n’est prescrite que si vous avez des facteurs de risque d’ostéoporose (ménopause précoce, antécédent de fracture sans contexte traumatique, corticothérapie prolongée...)
- L’ostéodensitomètre émet des rayons X mais l’irradiation est très faible et représente environ 1/10ème de la dose délivrée au cours d’une radiographie des poumons.
- Un manipulateur vous installera et vous demandera de retirer les vêtements gênants pour le déroulement de l’examen.
- Vous êtes couché sur le dos. Cet examen ne nécessite aucune piqûre. Il vous sera demandé de rester immobile quelques minutes.
- La mesure s’effectue généralement sur deux sites : le rachis lombaire, la hanche (région du col du fémur).
- L’examen a une durée de quinze minutes environ.